Avec vos propos, vous entrez dans un chapitre du travail de la commission d'enquête qui porte sur le continuum recherche-développement. Vous avez évoqué les freins au changement et la question de l'insécurité. Les accompagnateurs ne sont pas forcément formés à la sociologie rurale ou à celle des organisations. Ce sont des techniciens, mais pas forcément des animateurs. Parmi les principaux opérateurs, il y a aujourd'hui les chambres d'agriculture. Font-elles globalement le choix de miser sur des collectifs paysans pour faire valoir les transitions et les changements de pratiques ou sont-elles davantage sur du conseil individuel ? Y a-t-il des stratégies affirmées parmi celles que vous voyez à l'œuvre aujourd'hui ?