Même avis que Mme la rapporteure générale : nous avons suffisamment traité le sujet de la prise en compte de l'inflation. Concernant l'amendement n° 195 de Mme Leboucher, faisant partie de cette discussion commune, mais non défendu, et qui avait trait à la psychiatrie, je ferai observer que le problème majeur ne réside pas dans le défaut de crédits, mais dans le manque de professionnels : lorsqu'on en trouve, on adapte les moyens en conséquence.