Je partage vos propos, monsieur Peu. Nous devrons, dans les mois à venir, consulter les représentants syndicaux, ne serait-ce que parce que ce sont les employeurs et les salariés qui financent le dispositif.
Vous avez été plusieurs à souligner – vous l'avez fait dans votre intervention liminaire, monsieur Peu – que les commissions sur les titres-restaurant étaient jugées trop élevées et à dénoncer la situation quasi oligopolistique de quatre opérateurs, confirmée par la cour d'appel de Paris il y a quelques jours. Je rappelle que je n'ai pas attendu la décision de la cour pour m'exprimer sur le sujet – dès le 2 octobre, au cours d'une matinale – et souhaiter une réforme structurelle en vue de leur diminution.
Vous êtes plusieurs, et je m'en réjouis, à vous préoccuper du commerce rural et des zones d'activités commerciales. Mais alors, saisissez-vous des nombreux financements sur la table et disponibles ! Peu importe vos couleurs politiques !
Depuis six mois, nous avons rouvert plus de 180 commerces en milieu rural