Or tous les substituts au salaire, dont font partie ces titres, mais aussi les primes, viennent handicaper, à leurs yeux, leur capacité à négocier sur le cœur du sujet : l'indexation des salaires sur l'inflation.
C'est la raison pour laquelle je souhaite que les tickets-restaurant soient progressivement ramenés à leur fonction première, qui est d'aider les salariés à payer le restaurant, soit qu'ils préfèrent y prendre leur repas, soit qu'ils ne puissent pas faire autrement. Par ailleurs, je souhaite que des négociations aient lieu : premièrement, sur la question du salaire ; deuxièmement, sur la sécurité sociale alimentaire, le chèque alimentaire…