Disons la vérité pour avoir un débat serein. Je n'ai jamais prétendu que l'ouverture à la concurrence faisait la qualité de service – ou son entièreté. Je ne pense pas que ce texte doive revenir sur un acte de décentralisation majeur, en forçant les autorités organisatrices – ce qui n'est aujourd'hui proposé ni par vous, ni par ce texte – à définir le nombre de lignes de bus, de tramways et de métros.