M. Guedj, qui a dû nous quitter, était alors député : il a frondé sur certains sujets, mais pas sur celui-là. Il faut donc être cohérent, et honnête avec le présent texte.
Vous évoquez les galères des usagers. Je les respecte infiniment et, l'automne dernier, je me suis engagé pour qu'on augmente les salaires et qu'on accélère les recrutements à la RATP – mais cela n'a aucun rapport avec le processus décrit ici, qui, par définition, n'a pas commencé. Admettez que les galères peuvent très bien s'accommoder de l'organisation actuelle !