Nous avions proposé ce report de quatre ans en raison du calendrier électoral car il nous semblait qu'une question aussi sensible, qui concerne le quotidien de millions de Franciliens, ne pouvait être tranchée par la seule présidente de la région, qui n'a reçu aucun mandat en ce sens, et échapper ainsi au débat démocratique. Nous avions dès lors proposé que le délai de quatre ans serve à étudier une autre possibilité offerte par la loi : le maintien d'un monopole exploité par la régie publique régionale.