Toutes mes excuses, Jean-Paul ! La taxation des superdividendes et des rachats d'actions, qui ont explosé, aurait permis de rapporter à l'État quelque 15 milliards.
La revue de dépenses annoncée par la Première ministre devrait être l'occasion d'une baisse des dépenses fiscales – celles en faveur des plus riches –, plutôt que de celles destinées à couvrir les besoins de nos concitoyens. Cela aurait dû être intégré au projet de loi de finances pour 2024.