Reformulons donc nos propositions en adoptant une approche qui tienne compte de l'évolution moderniste des pays africains ainsi que des attentes d'une jeunesse connectée, avant-gardiste, à l'écoute du monde et de plus en plus consciente de la valeur de ses terres. Nous avons avec eux – mais pour combien de temps encore ? – la langue en partage et leur sommes attachés par de profonds liens culturels, sociaux, économiques et humains. Ces liens mutuels sont d'une valeur inestimable pour construire, en symbiose, un avenir commun, gage d'un développement fécond dans lequel nos entrepreneurs auront une place de choix en participant à un retour partenarial bien compris en faveur du tissu économique africain.
L'Afrique a besoin de nous et nous avons besoin de l'Afrique. Disons-le lui et soyons davantage attentifs à sa diaspora.