…mais quand nous avons dit, lors de l'examen de la réforme des retraites, qu'il fallait harmoniser les droits familiaux et les pensions de réversion par le haut, vous nous avez répondu que nous verrions cela plus tard. Cela n'a pas été fait. Or au moment de financer le grand âge, nous voyons bien que la question des pensions de réversion est fondamentale puisqu'elle permet en partie de résoudre l'équation.
Enfin, si nous n'améliorons pas les droits familiaux, notamment ceux des mères de famille dont le taux d'emploi est divisé par deux dès lors qu'elles ont un troisième enfant, nous ne résoudrons pas la question de leurs ressources lorsqu'elles atteindront le grand âge.
Nous voyons donc bien que tout est lié. C'est d'ailleurs l'une des difficultés que présente le texte : certaines mesures vont dans le bon sens, mais ne voyons pas la cohérence de l'ensemble. Cela étant, pour accélérer nos débats, je retire ces deux amendements.