Il sert notamment à générer – de façon sécurisée, j'y insiste – les certificats de test et de rétablissement qui permettent de voyager à l'étranger. Je rappelle à ceux de nos collègues qui ne siégeaient pas sur ces bancs lors de la précédente législature que les données sont effacées après trois mois pour les tests négatifs, après six mois pour les tests positifs – ce qui permet de les retrouver facilement et d'établir des certificats de rétablissement à nos concitoyens qui en auraient besoin et qui auraient perdu leur papier.
Le Conseil scientifique et le Conseil d'État ont approuvé ces dispositions. Toutes les garanties actuellement prévues sont reprises par le projet de loi.
J'ai entendu mentionner hier dans la discussion générale la stratégie « tester, protéger, isoler ». Si nous supprimions aujourd'hui le SI-DEP, nous ne pourrions plus protéger et isoler les cas contacts et les personnes positives.