L'annonce du Président de la République concernant la plantation d'un milliard d'arbres durant la prochaine décennie a suscité diverses critiques, d'aucuns estimant préférable d'accompagner les forêts existantes. Ne craignez-vous pas de retomber dans les travers du plan de relance, avec un financement de 87 % des coupes rases et 83 % des plantations en monoculture ? Nos pépiniéristes disposent-ils de suffisamment de graines et plants d'essences adaptées pour satisfaire aux exigences d'un tel plan de charge ?
La SNB prévoit un plan d'action visant à préserver les sols forestiers et les forêts anciennes, à la valeur écologique exceptionnelle. Que recouvre-t-il précisément ?