Il s'agit de dégager les fonds nécessaires pour recruter des animateurs et animatrices périscolaires. Aujourd'hui, ils travaillent souvent quinze à vingt heures par semaine, ce qui ne permet ni d'avoir des revenus suffisants pour organiser sa vie et s'installer, ni de s'engager dans des projets à long terme dans ces structures.
Ces emplois doivent devenir plus durables.