Nous voterons pour l'amendement de notre collègue Dalloz car, comme le rapporteur spécial, nous sommes favorables à une augmentation des crédits, mais aussi pour le symbole politique. Contrairement au rapporteur pour avis, je ne pense pas que l'orientation des recherches n'est que l'affaire des instituts. Si nos prédécesseurs ne s'étaient pas mobilisés, le problème de la maladie de Lyme aurait été mis sous le tapis par le passé comme c'est désormais le cas. Il serait bon que cet amendement soit adopté à l'unanimité pour envoyer un signal politique fort : il ne faut pas lâcher ceux qui souffrent de la maladie de Lyme et éprouvent une détresse psychologique car ils se sentent abandonnés.