Ce dispositif a été créé par la majorité pendant la crise sanitaire, pour résoudre l'urgence alimentaire. Les associations du secteur nous ont décrit il y a peu l'aggravation de la situation, soulignant que les jeunes, les étudiants en particulier, étaient très présents dans leur nouveau public. Ils ont évoqué le risque de devoir soumettre leurs aides à des conditions. Face à l'inflation, il serait bon que l'État prenne partiellement en charge ce problème en généralisant le repas à 1 euro, comme il l'a déjà fait.
Les étudiants peuvent ne pas être boursiers en raison des revenus de leurs parents, mais connaître de graves difficultés sociales. Je soutiens donc les amendements en discussion commune.