Effectivement, ce n'est pas le nombre qui importe. Par ailleurs, les soins concernés sont ceux qui ont une visée esthétique et ne sont pas rattachables à un acte de chirurgie reconstructrice.
C'est peut-être la première fois que nous abordons, en commission des finances, la question de l'AME d'une manière aussi apaisée. Je vous en sais gré car, sur un tel sujet, il y a souvent beaucoup d'électricité dans l'air. Nous devons faire en sorte que les Français adhèrent à cette aide sociale. Lorsqu'ils ont du mal à se faire soigner et n'ont pas eux-mêmes accès aux soins esthétiques, ils ne comprennent pas que l'AME le permette.