Je partage votre constat. J'auditionne chaque année les responsables de l'Oniam ainsi que les représentants de l'Association des parents d'enfants souffrant du syndrome de l'anticonvulsivant. J'en profite d'ailleurs pour rendre hommage à sa présidente, Mme Marine Martin, qui réalise un travail considérable en faveur des victimes de la Dépakine.
Les crédits inscrits dans le PLF me paraissent suffisants. S'ils venaient à manquer, s'agissant de dépenses de guichet non pilotables, ils seraient abondés en loi de finances rectificative. Avis défavorable.