Trois jours de repos après une fausse couche, c'est vraiment peu ! Je rejoins les propos de Mme Garin s'agissant du traumatisme et de la solitude des femmes qui vivent ces situations. Je comprends que cela ne relève pas de la mission Santé, mais le fait de créer un congé « fausse couche » permettrait aussi à l'entourage professionnel de ces femmes de prendre conscience de leur souffrance. Ces événements qui font partie de la vie des femmes, au même titre que le deuil périnatal, sont mal connus et tabous. Il est très important que nous favorisions leur reconnaissance.