Je vous rejoins tout à fait : c'est une préoccupation pour beaucoup d'entre nous. L'endométriose est une pathologie trop peu connue et à laquelle il n'existe pas encore de remède. Les traitements actuels ne font que soulager les symptômes. J'ai déposé en septembre 2020 une proposition de résolution visant à acter la reconnaissance institutionnelle de l'endométriose et une proposition de loi portant sur un meilleur encadrement législatif de la prévention de l'endométriose.
Le montant proposé dans votre amendement, 300 000 euros, me semble un peu insuffisant. Je vous propose de vous rallier au mien, qui prévoit de mobiliser 1 million d'euros.