Tout d'abord, il faut souligner que je me suis présenté au bureau exécutif avec une équipe entièrement paritaire, c'est-à-dire cinq femmes et cinq hommes. Notre conseil fédéral fonctionne également de manière paritaire.
Ensuite, l'Inspection générale de l'éducation, du sport et de la recherche a voulu pointer le fait que notre plan de féminisation datait de 2014 et que nous avons besoin de travailler à sa réactualisation, laquelle est effectivement en cours. Autour de ma vice-présidente en charge de cette question, nous avons mis en place un groupe de travail, afin de produire ce plan. Il y a une dizaine de jours, nous avons participé à un symposium organisé par notre fédération internationale sur cette question avec la volonté d'actualiser ce plan. Nous avons effectivement commencé à y travailler et avons constitué autour de ma vice-présidente en charge de cette question au sein de mon équipe un groupe de travail pour produire ce plan. Voilà où nous en sommes. Nous y travaillons donc de la même façon que nous modifions nos statuts et n'avons pas attendu les injonctions de l'État en matière de parité pour agir dans ce domaine.