Oui bien sûr. Le président Denis Masseglia m'a fait savoir que Michel Vion, le président de la Fédération française de ski, ne souhaitait pas devenir président, pas plus que Jean-Pierre Siutat. Denis Seminet, le président de la Fédération française de base-ball, a été le premier à m'appeler puis M. Masseglia m'a appelée à son tour. J'ai ensuite demandé à M. Siutat de me rejoindre et de me soutenir.
Cela ne me posait aucun problème d'être redevable dans le cadre d'une continuité d'idées et de projet. En revanche, à un moment donné, je n'ai pas souhaité m'associer à certaines idées. Le fait d'avoir eu le courage de dire « non » à certaines choses m'a coûté mon poste. C'est mon explication.