Nous disposons de moins d'accréditations pour la délégation paralympique que la délégation olympique, et nous devons donc procéder à des choix encore plus drastiques en termes d'accompagnement. Nous n'avons droit qu'à un accompagnant pour trois athlètes contre un pour deux pour les Jeux olympiques. L'explication tient sommairement à des rapports de force financiers au niveau international. Nous nous retrouvons donc avec des contraintes accrues alors que les besoins d'accompagnement des athlètes sont plus importants.