Bien sûr, cette Assemblée a connu des débats vifs, parfois même violents. Bien sûr, les idées s'y expriment avec force et parfois emportement. Bien sûr, certains mouvements dans l'hémicycle font partie intégrante du débat parlementaire. Mais comment pouvons-nous accepter, semaine après semaine, le déferlement de violence qui remplace trop souvent la défense des idées ?