Rien que dans mon département, le Puy-de-Dôme, 200 élèves sont ainsi privés de scolarité.
Il faudrait investir pour que les femmes puissent accoucher en sécurité, près de chez elles, dans des maternités qui fonctionnent. Il faudrait s'assurer que les malades aient la possibilité de se faire soigner quel que soit l'endroit où ils vivent. C'est une nécessité absolue, alors que les mobilisations se multiplient contre les fermetures de services d'urgences…