…« Hé ! bonjour, monsieur l'électeur. / Que vous êtes joli ! que vous me semblez avoir peur ! / Sans mentir, vos difficultés, / C'est la faute aux immigrés. / Vous êtes pourtant l'hôte de ces bois. / À ces mots, l'électeur est pris d'effroi ; / Et, pour montrer son choix, / Il ouvre sa main, laisse tomber sa voix. »