Par cet acte, le Gouvernement a de nouveau fait le choix de la brutalité pour forcer l'adoption d'un texte qui n'est pas soutenu par une majorité, à l'image de celui qui a été rejeté en première lecture il y a un an – sans parler de l'échec de la commission mixte paritaire. Depuis plus d'un an, le déni démocratique est devenu la marque de fabrique de ce gouvernement.