Il permet donc de piloter la politique de santé publique relative au covid.
Je rejoins en partie Aurélien Pradié : nous devons trouver la juste mesure de cet outil. La solution – ou la tentation – pourrait être de l'inscrire dans le droit de manière pérenne et de ne plus revenir régulièrement dans le Parlement pour en parler ; ce serait une erreur. Le fait d'inscrire une date d'expiration trop proche en serait une autre. Chaque fois, nous constatons que nous ne débattons pas sereinement : nous devons aller vite parce qu'une échéance arrive. La prochaine interviendra le 31 juillet.
En commission, nous avons travaillé,…