Permettez-moi de reprendre vos mots, monsieur le président Zulesi : le vote de cet après-midi n'a rien d'anodin. Je voudrais à cet égard saluer vos oppositions vaillantes qui témoignent, par leur présence, de leur intérêt pour les mobilités et pour le texte que vous nous avez brièvement présenté ; cela ne semblait pas être le cas de votre majorité au début de la séance et je le regrette.