Cet appel, bien que tardif, est salutaire. Il a cependant aussitôt valu au Président d'être accusé de « planter un couteau dans le dos de la communauté juive » et de « frôler l'antisémitisme » sur la chaîne i24NEWS. Le Président de la République et la diplomatie française ont également été pris à partie par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) qui, niant la responsabilité de l'État d'Israël dans les massacres des civils palestiniens, s'est permis de demander « une clarification de la position de la France ».