qui vivent dans la terreur du fait de leur confession. C'est Max, 20 ans, qui se fait casser le nez en rentrant de l'université parce qu'il est juif. C'est Alain, qui porte une kippa et sur qui l'on crache alors qu'il a le genou à terre. C'est Samuel, qui n'est pas retourné dans son université de médecine depuis trente jours après avoir reçu insultes et coups. C'est Sarah, dont le fils de 8 ans a remis des couches la nuit par peur d'aller à l'école. Je tiens à remercier nos policiers et nos militaires qui s'assurent chaque jour de leur sécurité.