Emmanuel Macron avait annoncé que la lutte contre les violences faites aux femmes serait un objectif de son quinquennat. Cette volonté politique s'est traduite par la dispensation de formations visant à lutter contre les actes à caractère sexiste et sexuel, dans le secteur privé mais également dans le secteur public, par exemple au Conseil d'État.
Par ailleurs, 63 % des agressions sexuelles subies par les femmes dans les transports en commun d'Île-de-France sont le fait d'individus de nationalité étrangère.
Il ne s'agit évidemment pas de former à respecter les femmes les personnes qui n'ont rien à faire sur notre territoire. En revanche, ce serait une bonne chose d'obliger les primo-arrivants en situation régulière à suivre une telle formation, pour améliorer leur intégration et vérifier, avant de leur donner la nationalité, s'ils respectent nos valeurs occidentales et nos codes culturels.