J'accepte bien volontiers cette invitation. Ensuite, vous avez raison de souligner que les 28 % d'augmentation en valeur ne se traduisent pas dans les volumes. Par exemple, les vins en vrac accusent de véritables difficultés. D'autres problèmes doivent également être mentionnés dans la production, en lien avec le changement climatique ou le mildiou, qui a frappé une part considérable de notre vignoble. Les mesures prises par l'État pour favoriser la distillation, à hauteur de 160 millions d'euros pour cette année, ne permettront pas à tous nos vignerons de sauver la face. Il faut également accorder de l'importance aux vins courants, aux vins de table, aux vins parfois hors appellation.