Cet amendement est issu d'une proposition de loi que j'ai déposée en juillet dernier et qui concerne l'endométriose, une pathologie trop peu connue de nos concitoyens, ce qui explique le manque de prévention dès le plus jeune âge et, par voie de conséquence, la difficulté à établir un diagnostic. Or il est primordial de bénéficier d'un diagnostic précoce pour pouvoir mettre en œuvre un traitement efficace contre l'endométriose.
Même si l'on peut se féliciter des avancées législatives, il ne faut pas relâcher nos efforts. Nous devons tout mettre en œuvre pour renforcer la prévention, afin que les jeunes filles et les femmes puissent bénéficier des meilleurs soins.
Cet amendement propose donc d'allouer 1 million d'euros pour améliorer l'information et la communication, notamment dans les collèges et les autres établissements scolaires, selon des modalités qui restent à déterminer.