Nous disposons d'instruments qui permettent de protéger nos entreprises stratégiques. Le ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique de la France a ainsi la possibilité d'autoriser ou non une prise de participation importante dans une entreprise stratégique. La nationalisation n'est pas la bonne réponse à ce qui constitue un vrai problème, car Atos a besoin de partenaires industriels et financiers. Avis défavorable.