L'État dispose déjà des moyens lui permettant de bloquer des investissements indésirables dans une entreprise stratégique. Par ailleurs, des négociations sont menées entre les différents acteurs et la direction générale des entreprises (DGE) pour protéger cette activité. Enfin, l'offre de reprise partielle ne porte que sur 7,5 % du capital de la branche Eviden de l'entreprise, ce qui ne met pas en danger son avenir. Avis défavorable.