Comme je l'ai dit hier dans cet hémicycle, nous déplorons la tragédie dont le Moyen-Orient est victime depuis les attaques terroristes du Hamas. Les regards ont donc tendance à se porter ailleurs qu'en Ukraine, où hélas, sur notre continent, la guerre continue à faire des ravages. C'est pourquoi je suis ravi que cet amendement soit défendu par de nombreux groupes : il rappelle que nous n'oublions pas l'Ukraine.
Il répond à deux principes. Le premier est de faire prévaloir l'ordre international : on ne redécoupe pas des frontières par la force.