si je salue les moyens inédits, nous devons aller plus loin. Que vais-je dire, demain, aux parents d'élèves et aux familles qui, pour l'instant, s'arrangent pour héberger dans des écoles les enfants à la rue ? Que le Gouvernement trouve que les loger coûte trop cher, qu'on ne peut pas être plus solidaires qu'on l'est déjà ? Ces enfants doivent bénéficier de la politique du « quoi qu'il en coûte » que vous avez accordée à tant d'autres.