Nous soutiendrons l'amendement, même si les régimes de calamité agricole et les dispositifs de gestion de crise ne sauraient nous dispenser d'élaborer des solutions à long terme. Nous ne pouvons pas nous contenter de réagir à chaque crise. Je rappelle que le développement du mildiou est lié au réchauffement climatique et aux variations de température qu'il entraîne. Il est nécessaire d'aider les agriculteurs touchés, mais également d'accompagner les transformations qui nous permettront d'être plus résilients face à de telles crises.