Madame Louwagie, ce sont, à parts égales, les effets de l'augmentation des taux d'intérêt et de l'inflation qui nous conduisent à ouvrir 3,8 milliards d'euros supplémentaires pour financer la charge de la dette. S'agissant de l'inflation, nos prévisions étaient en dessous de la réalité puisqu'elle avait été estimée à 4,2 %, alors qu'elle s'est établie à 4,9 %.
Pour répondre à Mme Battistel, il s'agit uniquement de l'annulation des crédits mis en réserve, qui ne concernent d'ailleurs pas exclusivement le plan Avenir montagnes. Vous me demandez de les recycler ; sachez que tous les crédits annulés sont réaffectés.