Quand près d'un garçon sur trois déclare, dans une récente enquête, penser qu'une femme peut aimer être forcée à une relation sexuelle, on voit qu'il y a un problème ; de même quand, dans une autre enquête, il apparaît que plus de 40 % des garçons déclarent s'informer sur le sexe par l'intermédiaire des contenus pornographiques sur internet. C'est un problème de société qui dépasse très largement l'éducation nationale, mais auquel celle-ci doit contribuer à répondre et j'y travaille avec Charlotte Caubel, Jean-Noël Barrot, Bérangère Couillard et d'autres encore.
Je pense, madame la députée, que ce sujet doit être dépassionné politiquement.