Madame Simonnet, vous avez tout à fait le droit d'être en colère. J'ai simplement indiqué que, d'un point de vue technique, il est inutile d'exprimer cette colère trop près du micro, puisque celui-ci permet d'être entendu même lorsque l'on parle loin.
J'adresse cette remarque quel que soit le groupe politique, indistinctement à une femme ou à un homme – comme, lors de la précédente législature, à M. Ruffin. J'exprime là un sentiment qui est partagé par de nombreux collègues. Je n'accepterai pas d'être attaqué sous cet angle.