Mon cabinet répondra par écrit à votre deuxième question. Quant au chèque alimentaire, malgré tous nos efforts, nous n'avons pas réussi à trouver de solution satisfaisante, c'est-à-dire qui n'aboutisse pas à faire financer par le contribuable l'importation de produits alimentaires. L'argent public doit au contraire servir à soutenir une alimentation saine, basée sur les produits agricoles français. Faute de solution donc, nous avons choisi d'accorder une allocation exceptionnelle de rentrée de 100 euros, à laquelle s'ajoutent 50 euros par enfant, mais nous continuons de travailler à un dispositif qui permette de conjuguer l'aide aux ménages et le soutien à l'agriculture française.