Nous disposons d'un certain nombre de mécanismes de court terme qui nous permettent de maintenir les rejets dans l'eau lorsque les fleuves et rivières sont trop chauds. Heureusement, le recours à ces solutions reste extrêmement rare et, après un été aussi exceptionnel que celui que nous avons vécu, nous y avons été contraints sur 8 journées pour Bugey, 8 pour Golfech, 1 pour Saint-Alban et 9 pour Tricastin.
En ce qui concerne les mesures à moyen et à long terme, la question du réchauffement climatique et de la gestion de l'eau est absolument fondamentale et nous avons créé un programme spécifique nommé Adapt qui vise à réfléchir de manière systémique à toutes les conséquences de ce dernier, entre autres sur l'eau.
Je tiens en outre à signaler que malgré la canicule, nous n'avons eu à déplorer aucun accident matériel ni humain.