Alors devant les plus précaires, devant les jeunes comme les plus âgés, devant les familles, devant les soignants, les personnels de la petite enfance ou du handicap, comment pourriez-vous expliquer que vous les avez privés de protections, de moyens supplémentaires, de solutions et parfois même d'augmentations de salaire ?
Oseriez-vous, une fois de plus, vous prétendre les gardiens de notre modèle social ? Jamais un mot pour les avancées, monsieur Guedj ! Vous nous assénez des leçons pour nous expliquer à quel point vous feriez bien mieux, gardiens d'un temple que vous regardez en sépia mais surtout pas en le projetant vers l'avenir.