Monsieur le garde des sceaux, j'entends vos réponses sur le nombre suffisant de téléphones grave danger et de bracelets antirapprochement, mais je souhaiterais vous poser une question. Il y a deux ans, à Épinay-sur-Seine, dans ma circonscription de Seine-Saint-Denis, une femme a été tuée par son conjoint alors qu'elle possédait un téléphone grave danger ; personne ne l'avait prévenue que son conjoint avait été libéré. Des dispositions ont-elles été prises pour éviter qu'une telle situation se reproduise ?