Nous sommes opposés à cette mesure : il existe effectivement d'autres moyens d'obtenir les chiffres. Surtout, il n'est pas question de dépenser 1 million pour une étude qui prendra du temps – dans l'intervalle, les moyens feront défaut et les femmes continueront à mourir. Elles n'ont pas le luxe d'attendre : le temps est à l'action et pas aux études !
S'agissant des problèmes liés au téléphone grave danger, vous semblez oublier que ce ne sont pas les victimes qui demandent à bénéficier d'un téléphone ou d'un bracelet : c'est la juridiction qui le leur propose, et s'il n'y a pas de stock, elle ne le fait pas ! Ces données sont donc totalement faussées et je maintiens que nous manquons de matériel, de téléphones comme de bracelets.