Beaucoup est fait en la matière dans l'audiovisuel, public comme privé, même si cela reste sans aucun doute insuffisant. Je partage votre souhait de mieux lutter contre les violences sexuelles et sexistes dans les médias. Les langues se délient et c'est tant mieux. Il faut mettre les directions, les responsables des ressources humaines devant leurs responsabilités. C'est à eux d'être en première ligne, et il ne revient pas à l'État de financer ces plans, surtout pour un tel montant – je ne comprends d'ailleurs pas comment vous parvenez à 10 millions d'euros. Avis défavorable.