Comme le Gouvernement n'a pas inscrit la taxe sur le streaming dans la première partie du PLF, nous n'avons pas d'autre choix que de proposer une augmentation des crédits alloués par l'État au CNM. J'espère qu'au cours de la navette parlementaire la représentation nationale pourra avoir un débat de fond sur cette taxe indispensable, et que nous pourrons en définir démocratiquement l'assiette et le taux.