Je me joins aux voix qui se sont exprimées en faveur de la centaine de Smac que nous comptons. On pourrait envisager d'en créer de nouvelles, car l'ensemble du territoire n'est pas couvert : l'accès aux musiques actuelles demeure difficile pour nombre de personnes. Mais les structures existantes connaissent déjà de grandes difficultés, malgré les efforts qu'elles accomplissent pour dynamiser leurs ressources propres. D'autres secteurs artistiques sont davantage aidés. Notre soutien serait donc largement justifié. Il faut que la ministre l'entende et lève le gage.