Monsieur Corbière, aimer la France, c'est aussi la respecter – nous avons eu cette discussion dans un autre lieu. Et la respecter, c'est respecter ses institutions – or, pendant l'année durant laquelle j'étais députée, j'ai eu quelques doutes quant au fait que ce respect était partagé sur tous les bancs de l'hémicycle, notamment sur ceux où vous siégez.